Un flic tué au nom de Daesh : « il ne faut pas faire le jeux du FN ni en tirer leçon ! »
Un massacre le jour de la fête nationale : « il ne faut pas en tirer de conclusion et tomber dans le FN ! »
Un curé égorgé : « il ne faut pas faire d’amalgame et faire le jeux du FN ! »
Un massacre au Bataclan : « il ne faut pas faire le jeux eu FN en tirer leçon pas de généralité ! »
Le gauchiste c’est le taré qui quoi qu’il arrivera, n’estimera que ça n’est jamais assez pour penser à un moment qu’il faille se protéger.
Pour le gauchiste, l’intelligence est de ne pas se laisser influencer (en fait, convaincre) quel que soit le nombre de preuve que la vie réelle apporte pour contredire son idéologie de bisounours dénué de tout pragmatisme et complètement déconnecté du réell.
Son délire, son principe, sa fierté, ce sera de toujours réussir à vous répondre : « il faut pas se laisser à la haine » quoi qu’il arrive. En gros plus les fait tendent à prouver qu’il a tord, plus il se sentira intelligent, évolué, érudit, « conscient » de réussir à continuer à défendre ceux qui nous font la peau!
Deux raisons peuvent expliquer la connerie du gauchiste :
1: dans notre monde occidentale civilisé un « homme évolué » est celui qui a réussi à troqué sa faculté à sortir les griffes, ses instincts pugilistiques, contre sa faculté à manier sa langue, à se tempérer, à faire des compromis, en gros c’est celui qui apprend à son fils qu’il est plus intelligent de refiler son goûter à celui qui le réclame en mode déter’ plutôt que de lutter pour perdre plus et de s’enorgueillir ensuite d’être « plus intelligent » à défaut d’être plus couillu…
Et le mec arriéré est le paysan bourru prompts à sortir la fourche a la moindre suspicion de vol de poule, et on peut le comprendre, notre société (pré-immigration) à réussi à se civiliser justement parce que les membres ont privilégié l’esprit de coopération plutôt que de conflit entre membres de cette société (homogène).
Le gauchiste étant incapable de s’adapter à la situation, ne prend pas en compte que dans la société de notre époque et de notre futur, où on accepte que la moitié de la population vienne d’un endroit où on considère le compromis et la résignation comme une faiblesse, celui qui est évolué pour survivre à ce monde est le paysan bourru, le Corse de Cisco, etc, et l’arrieré voué à se faire piquer sa bouffe et fertiliser sa femme par un étranger qu’il aura logé, c’est lui.
2: le gauchiste se veut un paragon de la morale, du sacrifice, de la charité dénué de tout intérêt personnel, charité dont il tire paradoxalement sa fierté.
Par exemple, il est sympa de complimenter une belle femme, ben le gauchiste, il est encore plus moral que toi! Il va complimenter les grosses dégueulasses et dire qu’elles sont plus belles que les belles qui sont sûrement superficielles, tout ça…il est moral de plaindre les victimes, et ben lui il est encore plus moral, car il réussi à plaindre…les agresseurs! À leur trouver des excuses, une enfance difficile tout ça…le gauchiste va s’engager pour apporter du bonheur au tolard en prison et se foutre des honnêtes citoyens malheureux dehors car ce serait plus « facile », et rapporterait moins de « points de moralité » .
Le gauchiste niveau maître c’est celui qui va réussir à laisser la porte de sa maison ouverte à tous même après que tous les membres de sa famille se soient fait tuer par des gens qu’il a accueilli, pour lui ce serait même une consécration, une preuve de sa bonté et de sa supériorité.
Tenez autre exemple, je viens d’apprendre que ce gauchiste mental avec un nom de bisous viens de se gagner plein de points de moral en disant un jour après qu’un flic se soit fait descendre, que les policiers ne devraient pas être armé. Sur la radio j’entend en écrivant qu’on reproche à Trump d’avoir parlé de terrorisme juste après cette attentat, en gros ces lobotomisés lui reproche d’avoir dit ca avant que ça se sache officiellement! Au lieu de se dire que le fait qu’on ai 99% de chance d’avoir raisons en disant que le prochain tueur de flic sera un Karim ou du genre. Trump a eu raison et on lui reproche d’avoir analysé ce qui s’est passé en se basant sur ce qui s’est déjà passé.
Je ne vais pas faire de conclusion, vous savez quoi faire dimanche.
Fabrice Oh