19 Fév 2017
Posted by Yann Merkado 
On entend souvent l’inverse, qui n’a aucun sens. Depuis la nuit des temps, les gens ont dit merde aux envahisseurs antipathiques, bruyants, agressifs, mal-élevés, violents, sans avoir eu besoin de s’être fait « voler son goûter à la récré par un arabe » (comme on aime le dire à tous les blancs identitaires).
Les blancs de cité qui soutiennent la racaille, c’est tous des victimes avec le syndrome de Stockholm et du « je suis ton pote, frappe pas »
Mec, t’es entouré d’aliens, si tu soutiens pas la racaille ils vont chier sur ton paillasson tous les jours, menacer de mort tes parents et violer ta sœur. Evidemment que tu soutiens la racaille.
Il y a deux types de soutiens blancs à la racaille : ceux qui vivent très loin, et ceux qui vivent collés à elle, pris en otages.
Les petits blancs pro-racaille et anti-flic, ce sont des victimes en puissance. Leur seul espoir de promotion sociale : devenir un janissaire castré au service du Califat de la Banlieue.
