Ceci n’engage que moi, mais je supporte de moins en moins le terme dissident en raison de ses diverses connotations.
Un dissident est quelqu’un qui a une opinion différente de celle du plus grand nombre : les sondages d’opinion, bien que toujours orientés à l’avantage du pouvoir en place, sont loin de me déconnecter du reste du peuple qui est majoritairement favorable à la peine de mort (52%), au rétablissement du service militaire (80%) et au refus d’accueillir des réfugiés (62%). De ce point de vue, c’est plutôt le bobo hypocrite, le LGBT amateur de pénétrations exotiques, le 68ard à la dérive, et l’humaniste ramasseur de déchets qui font de la dissidence dans leurs associations sous perfusions de subventions par une gauche qui ne repassera plus.
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